En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer des contenus et services adaptés. Mentions légales.

Vos poèmes - Poèmes de Guillaume



Divers poèmes  -  par   Guillaume


Quand on aime,
On sourit et on croise les regards
On prend les mains, on envoie des baisers
On envoie des « je t’aime »,
On les écrit pour qu’ils restent
On ne voit pas les défauts
On ne voit pas les rides
On ne voit pas la maladie
Et tout le temps on rit.

Mais comment fait-on quand on aime
Quelqu’un qui n’est plus là?
On sourit en pensant au passé
On caresse les souvenirs, on envoie des baisers
Aussi loin qu’on peut, on repense très fort
Aux « je t ‘aime » d’avant
Ceux qui étaient écrits sont restés
Ils n’ont pas pris une ride
Mais on est seul à les prononcer
Et souvent on pleure
Car il est difficile d’aimer si fort
Une personne qui ne nous entend plus
A moins que dans un ultime effort
Nos cris percent le temps
Et l’univers tout entier
Résonnent dans l’au-delà
Comme un son de réalité.
Auguinou ( jepoeme )


Beau et touchant. Un beau cadeau pour tous ceux que tu aimes ou a aimé

Merci pour ton com apprécié.'); Il efface toutes les craintes,
Déplace l’essentiel
Vers ce moment irréel.

Je pense à la vie
Juste avant la mort,
Défilé d’images
Qui se mélangent
Dans l’angoisse.
On voudrait dire tant de choses
Aux gens qui nous aiment
Mais on n’a plus le temps
Ni la force
On prononce un mot,
On sert un bras très fort.

La souffrance n’est plus rien
On ressent un amour impuissant
Qui se lit dans notre regard
Voilé, abandonné.
On ne maîtrise plus ces secondes
Si précieuses
Parfois on tombe dans les bras
De quelqu’un qui nous est cher
Souvent c’est un enfant,
C’est notre enfant
Qui nous regarde partir,
Triste au revoir
A celui qu’on a vu grandir.

Songe à ce dernier moment
Où on ressent des choses
Qu’on ne dira jamais.
Cet instant suprême
Devant ceux qu’on aime
Seuls pour témoigner
Seuls à avoir vu dans le regard
La vive lumière
Qui s’éteint.Auguinou ( jepoeme )
Moment cruel et magnifique dans sa simplicité. Les mots qu'on ne peut plus dire, les mots difficiles à dire en temps normal déjà...mais qu'on pense au fond de soi. Ceux qui t'aiment le savent...
" on serre dans ses bras "

Merci de m'avoir donné tes impressions sur ce thème difficile.
 Quand on ressent quelque chose de beau
Puisé au hasard dans les idéaux,
Un trésor qui s’avère inestimable
Comme une passion tirée d’une fable,

C’est qu’on a trouvé cette émotion rare
La richesse dans un monde barbare
La vraie beauté simple et majestueuse
Symbole précieux d’une quête heureuse.

C’est un moment de richesse intérieure
Si doux et fugace instant de bonheur
Ressenti insaisissable et précieux
Petit flash de lumière aux fond des yeux.

Ce n’est pas comme un objet couvert d’or
C’est plutôt un immatériel trésor

Caché au fond d’un être généreux.
Auguinou ( jepoeme )

Merci pour cet immatériel trésor que tu as été chercher pour nous le révéler. Une étincelle de bonheur qui efface un instant les larmes
 Sur les dunes du Sahara ou dans une montgolfière
Elle voulait être transportée à mille lieues de sa réalité
Sur la place rouge ou à New -York
Elle voulait être emmenée,
De l’Himalaya aux montagnes des Andes
Elle voulait tout voir, être émerveillée

Oubliant ses soucis et la routine
Elle voulait partager, caline
Loin de son pays d’origine
Ses envies, ses humeurs.
Elle changeait d’avis
Dans cet instant furtif
Elle oubliait sa vie
Le stress se dissolvant
Sur les paysages changeants.

Elle était exigeante
Demandait tout de son homme
Qu’il lui construise son royaume
Avec son attention décuplée
Lui était attentionné
Avec ses milles promesses
Invulnérable et fier
Il lui racontait
Ses voyages,
Il lui modelait
Des reliefs,
Des images de ses rêves

Et elle pensait
A ce monde inaccessible
Aux immeubles de Shanghai à ses pieds
Elle croyait voler

Sur son univers étoilé
Sur la terre qui est son monde
Son homme l’a imaginé
Pour qu’elle rêve à chaque seconde
De ses petits pas de jeunesse

Elle avance,
L’esprit vagabonde sur les plaines d’Australie
Son cœur inondé de belle nostalgie.
Quand son passé et son futur se mélangent
Son présent est oublié
Avec son homme, elle se transforme en ange
Le temps d’une tendre soirée.

Auguinou ( jepoeme )


Belle " invitation au voyage " sans voyager. Reste à réaliser son rêve... Le réel peut parfois être moins beau, moins poétique que le rêve.

Alors ne parlons que du rêve..

Jepoemiens du monde entier
Québec, Paris ou même Alger
Créant de belles poésies
Jusqu'au fond de l'Andalousie.

Les transmissions instantanées
Font que je parle à rose aimée
Bien au-delà de l'océan,
Rien de plus simple maintenant.

Le rapprochement des pensées
Crée un trésor d'identité,
J'ai l'impression d'appartenir
A ces gens qui peuvent me lire.

Comme une nouvelle nation
Rassemblement des ambitions
Sans frontières géographiques
C'est mon doux rêve poétique.

Auguinou ( jepoeme )
 

Simple et amical. Doux rêve poétique comme tu dis qui rassemble sans frontières géographiques, sans limites d'âge, sans frontière d'incompréhension. La poésie touche plus que les simples mots sur le vif et permet " le rapprochement des pensées " en effet.

 Il efface toutes les craintes,
Déplace l’essentiel
Vers ce moment irréel.

Je pense à la vie
Juste avant la mort,
Défilé d’images
Qui se mélangent
Dans l’angoisse.
On voudrait dire tant de choses
Aux gens qui nous aiment
Mais on n’a plus le temps
Ni la force
On prononce un mot,
On sert un bras très fort.

La souffrance n’est plus rien
On ressent un amour impuissant
Qui se lit dans notre regard
Voilé, abandonné.
On ne maîtrise plus ces secondes
Si précieuses
Parfois on tombe dans les bras
De quelqu’un qui nous est cher
Souvent c’est un enfant,
C’est notre enfant
Qui nous regarde partir,
Triste au revoir
A celui qu’on a vu grandir.

Songe à ce dernier moment
Où on ressent des choses
Qu’on ne dira jamais.
Cet instant suprême
Devant ceux qu’on aime
Seuls pour témoigner
Seuls à avoir vu dans le regard
La vive lumière
Qui s’éteint.Auguinou ( jepoeme )
Moment cruel et magnifique dans sa simplicité. Les mots qu'on ne peut plus dire, les mots difficiles à dire en temps normal déjà...mais qu'on pense au fond de soi. Ceux qui t'aiment le savent...
" on serre dans ses bras "

Merci de m'avoir donné tes impressions sur ce thème difficile.
 Sur ton visage,
Sur ton regard,
Je passe ma main
Et mes doigts
Glissent dans tes cheveux,
Tu es mon ange
Qui rend mon cœur heureux.

Sur ta peau,
Sur tes yeux,
Sur tes mains,
Aucune trace
Ne vient troubler ton charme,
Tu es la seule
Qui me laisse sans armes.

Sur tes jambes lisses et douces,
Mon regard s’attarde.
Je réclame tes petites mains,
Frêle mouvement de douceur
Qui se pose sur mes bras.
A côté de toi, je me sens si brutal
Et pourtant tu tressailles.

Dans le son de ta voix,
Je trouve de la complicité.
Dans tes mots précipités
J’écoute, attentif, le nœud
De tes paroles.
Je prends le temps de te comprendre
Car tu m’as appris
Qu’avant de t’abandonner,
Il fallait simplement
Te rassurer.

Puis ton calme revient,
Il suffisait de presque rien,
Tu es de nouveau un ange
Avec les doigts si fins.
J’avance plus près de toi.
La poupée capricieuse
A laissé place
A une femme heureuse
Et câline.

Sur ton visage,
Sur ton regard,
Je passe à nouveau ma main,
Mes doigts s’enfoncent plus profondément
Dans tes cheveux.
Nous sommes deux à tressaillir,
Deux à ressentir
Ce que c’est d’être heureux.
Auguinou ( jepoeme )

Beau moment à la fois discret, intime et pourtant révélateur

Merci pour ta lecture et tes mots.'); Les mots que j’attends,
Je voudrais que tu me racontes plutôt
Tes sentiments,
Je veux connaître la vérité
Que tu caches,
Je veux que tes yeux me regardent
En face,
Je ne tournerai pas la tête,
Je ne plisserai pas le regard
Et si la douleur est immense
Je resterai debout, je pense,
Mais à l’intérieur de moi
Tu ne verras pas le feu,
Tu ne verras pas l’incendie
Qui me consume.
Je ne te montrerai pas ma souffrance
J’arrêterai les larmes, elles sortiront
Seulement quand tes yeux seront fermés
Et lorsque tu dormiras paisiblement,
Je pleurerai en silence.

Avant de dormir paisiblement je voudrais dire que j'ai fait de mon mieux dans la vie pour les miens et pourtant j'ai l'impression de partir en n'ayant jamais rien fait de bien ! Est-ce pareil chez toi ?

Toujours on pense que ce qu'on a fait c'est mal mais est-ce que cela se mesure ?');
Essuie donc ces larmes qui coulent de tes yeux,
Je suis là pour t’accompagner
Et je ne parlerai plus du passé qui nous échappe.
Ce temps est maintenant écoulé
Et si je m’évade un moment,
Ne m’en veux pas, mon triste amour qui tremble.

Nos sentiments éternels effaceront les cicatrices
Qui nous ont marqués.
L’un et l’autre nous oublierons
Car la vie est ainsi faite de multiples défaites
Mais aussi d’immenses joies.
Je t’en prie, tu dois me croire
Et avancer, cueillir les nouvelles fleurs
Avant que nos cœurs flétrissent, désespérés.

Prends maintenant ce qui est beau,
Construits avec moi
Un temple qui ne tremblera plus,
Fidèle forteresse de nos cœurs ébranlés.
C’est notre maison où notre avenir sera protégé.

Elle résistera longtemps, témoignera de nos sentiments
Quand on ne pourra plus parler ni même ressentir,
Lorsqu’on aura oublié ce que représentait pour nous
Le plus beau de ces mots qui nous aura accompagné
Le mot de chaque jour partagé, distribué dans nos gestes

De chaque seconde.
Un mot comme une onde
Sur un océan de tendresse
Qui monte et qui descend,
« Aimer » jusqu’à l’horizon.
Auguinou ( jepoeme )

Beau, chaleureux, plein d'entrain. Tu sais créer une dynamique pour l'avenir, tu sais oublier, pardonner. J'aime la rupture de rythme de la dernière strophe

Merci pour ta lecture et ce joli commentaire.');


Quand on aime,
On sourit et on croise les regards
On prend les mains, on envoie des baisers
On envoie des « je t’aime »,
On les écrit pour qu’ils restent
On ne voit pas les défauts
On ne voit pas les rides
On ne voit pas la maladie
Et tout le temps on rit.

Mais comment fait-on quand on aime
Quelqu’un qui n’est plus là?
On sourit en pensant au passé
On caresse les souvenirs, on envoie des baisers
Aussi loin qu’on peut, on repense très fort
Aux « je t ‘aime » d’avant
Ceux qui étaient écrits sont restés
Ils n’ont pas pris une ride
Mais on est seul à les prononcer
Et souvent on pleure
Car il est difficile d’aimer si fort
Une personne qui ne nous entend plus
A moins que dans un ultime effort
Nos cris percent le temps
Et l’univers tout entier
Résonnent dans l’au-delà
Comme un son de réalité.
Auguinou ( jepoeme )


Beau et touchant. Un beau cadeau pour tous ceux que tu aimes ou a aimé

Merci pour ton com apprécié.'); Il efface toutes les craintes,
Déplace l’essentiel
Vers ce moment irréel.

Je pense à la vie
Juste avant la mort,
Défilé d’images
Qui se mélangent
Dans l’angoisse.
On voudrait dire tant de choses
Aux gens qui nous aiment
Mais on n’a plus le temps
Ni la force
On prononce un mot,
On sert un bras très fort.

La souffrance n’est plus rien
On ressent un amour impuissant
Qui se lit dans notre regard
Voilé, abandonné.
On ne maîtrise plus ces secondes
Si précieuses
Parfois on tombe dans les bras
De quelqu’un qui nous est cher
Souvent c’est un enfant,
C’est notre enfant
Qui nous regarde partir,
Triste au revoir
A celui qu’on a vu grandir.

Songe à ce dernier moment
Où on ressent des choses
Qu’on ne dira jamais.
Cet instant suprême
Devant ceux qu’on aime
Seuls pour témoigner
Seuls à avoir vu dans le regard
La vive lumière
Qui s’éteint.Auguinou ( jepoeme )
Moment cruel et magnifique dans sa simplicité. Les mots qu'on ne peut plus dire, les mots difficiles à dire en temps normal déjà...mais qu'on pense au fond de soi. Ceux qui t'aiment le savent...
" on serre dans ses bras "

Merci de m'avoir donné tes impressions sur ce thème difficile.
 Quand on ressent quelque chose de beau
Puisé au hasard dans les idéaux,
Un trésor qui s’avère inestimable
Comme une passion tirée d’une fable,

C’est qu’on a trouvé cette émotion rare
La richesse dans un monde barbare
La vraie beauté simple et majestueuse
Symbole précieux d’une quête heureuse.

C’est un moment de richesse intérieure
Si doux et fugace instant de bonheur
Ressenti insaisissable et précieux
Petit flash de lumière aux fond des yeux.

Ce n’est pas comme un objet couvert d’or
C’est plutôt un immatériel trésor

Caché au fond d’un être généreux.
Auguinou ( jepoeme )

Merci pour cet immatériel trésor que tu as été chercher pour nous le révéler. Une étincelle de bonheur qui efface un instant les larmes
 Sur les dunes du Sahara ou dans une montgolfière
Elle voulait être transportée à mille lieues de sa réalité
Sur la place rouge ou à New -York
Elle voulait être emmenée,
De l’Himalaya aux montagnes des Andes
Elle voulait tout voir, être émerveillée

Oubliant ses soucis et la routine
Elle voulait partager, caline
Loin de son pays d’origine
Ses envies, ses humeurs.
Elle changeait d’avis
Dans cet instant furtif
Elle oubliait sa vie
Le stress se dissolvant
Sur les paysages changeants.

Elle était exigeante
Demandait tout de son homme
Qu’il lui construise son royaume
Avec son attention décuplée
Lui était attentionné
Avec ses milles promesses
Invulnérable et fier
Il lui racontait
Ses voyages,
Il lui modelait
Des reliefs,
Des images de ses rêves

Et elle pensait
A ce monde inaccessible
Aux immeubles de Shanghai à ses pieds
Elle croyait voler

Sur son univers étoilé
Sur la terre qui est son monde
Son homme l’a imaginé
Pour qu’elle rêve à chaque seconde
De ses petits pas de jeunesse

Elle avance,
L’esprit vagabonde sur les plaines d’Australie
Son cœur inondé de belle nostalgie.
Quand son passé et son futur se mélangent
Son présent est oublié
Avec son homme, elle se transforme en ange
Le temps d’une tendre soirée.

Auguinou ( jepoeme )


Belle " invitation au voyage " sans voyager. Reste à réaliser son rêve... Le réel peut parfois être moins beau, moins poétique que le rêve.

Alors ne parlons que du rêve..

Jepoemiens du monde entier
Québec, Paris ou même Alger
Créant de belles poésies
Jusqu'au fond de l'Andalousie.

Les transmissions instantanées
Font que je parle à rose aimée
Bien au-delà de l'océan,
Rien de plus simple maintenant.

Le rapprochement des pensées
Crée un trésor d'identité,
J'ai l'impression d'appartenir
A ces gens qui peuvent me lire.

Comme une nouvelle nation
Rassemblement des ambitions
Sans frontières géographiques
C'est mon doux rêve poétique.

Auguinou ( jepoeme )
 

Simple et amical. Doux rêve poétique comme tu dis qui rassemble sans frontières géographiques, sans limites d'âge, sans frontière d'incompréhension. La poésie touche plus que les simples mots sur le vif et permet " le rapprochement des pensées " en effet.

 Il efface toutes les craintes,
Déplace l’essentiel
Vers ce moment irréel.

Je pense à la vie
Juste avant la mort,
Défilé d’images
Qui se mélangent
Dans l’angoisse.
On voudrait dire tant de choses
Aux gens qui nous aiment
Mais on n’a plus le temps
Ni la force
On prononce un mot,
On sert un bras très fort.

La souffrance n’est plus rien
On ressent un amour impuissant
Qui se lit dans notre regard
Voilé, abandonné.
On ne maîtrise plus ces secondes
Si précieuses
Parfois on tombe dans les bras
De quelqu’un qui nous est cher
Souvent c’est un enfant,
C’est notre enfant
Qui nous regarde partir,
Triste au revoir
A celui qu’on a vu grandir.

Songe à ce dernier moment
Où on ressent des choses
Qu’on ne dira jamais.
Cet instant suprême
Devant ceux qu’on aime
Seuls pour témoigner
Seuls à avoir vu dans le regard
La vive lumière
Qui s’éteint.Auguinou ( jepoeme )
Moment cruel et magnifique dans sa simplicité. Les mots qu'on ne peut plus dire, les mots difficiles à dire en temps normal déjà...mais qu'on pense au fond de soi. Ceux qui t'aiment le savent...
" on serre dans ses bras "

Merci de m'avoir donné tes impressions sur ce thème difficile.
 Sur ton visage,
Sur ton regard,
Je passe ma main
Et mes doigts
Glissent dans tes cheveux,
Tu es mon ange
Qui rend mon cœur heureux.

Sur ta peau,
Sur tes yeux,
Sur tes mains,
Aucune trace
Ne vient troubler ton charme,
Tu es la seule
Qui me laisse sans armes.

Sur tes jambes lisses et douces,
Mon regard s’attarde.
Je réclame tes petites mains,
Frêle mouvement de douceur
Qui se pose sur mes bras.
A côté de toi, je me sens si brutal
Et pourtant tu tressailles.

Dans le son de ta voix,
Je trouve de la complicité.
Dans tes mots précipités
J’écoute, attentif, le nœud
De tes paroles.
Je prends le temps de te comprendre
Car tu m’as appris
Qu’avant de t’abandonner,
Il fallait simplement
Te rassurer.

Puis ton calme revient,
Il suffisait de presque rien,
Tu es de nouveau un ange
Avec les doigts si fins.
J’avance plus près de toi.
La poupée capricieuse
A laissé place
A une femme heureuse
Et câline.

Sur ton visage,
Sur ton regard,
Je passe à nouveau ma main,
Mes doigts s’enfoncent plus profondément
Dans tes cheveux.
Nous sommes deux à tressaillir,
Deux à ressentir
Ce que c’est d’être heureux.
Auguinou ( jepoeme )

Beau moment à la fois discret, intime et pourtant révélateur

Merci pour ta lecture et tes mots.'); Les mots que j’attends,
Je voudrais que tu me racontes plutôt
Tes sentiments,
Je veux connaître la vérité
Que tu caches,
Je veux que tes yeux me regardent
En face,
Je ne tournerai pas la tête,
Je ne plisserai pas le regard
Et si la douleur est immense
Je resterai debout, je pense,
Mais à l’intérieur de moi
Tu ne verras pas le feu,
Tu ne verras pas l’incendie
Qui me consume.
Je ne te montrerai pas ma souffrance
J’arrêterai les larmes, elles sortiront
Seulement quand tes yeux seront fermés
Et lorsque tu dormiras paisiblement,
Je pleurerai en silence.

Avant de dormir paisiblement je voudrais dire que j'ai fait de mon mieux dans la vie pour les miens et pourtant j'ai l'impression de partir en n'ayant jamais rien fait de bien ! Est-ce pareil chez toi ?

Toujours on pense que ce qu'on a fait c'est mal mais est-ce que cela se mesure ?');
Essuie donc ces larmes qui coulent de tes yeux,
Je suis là pour t’accompagner
Et je ne parlerai plus du passé qui nous échappe.
Ce temps est maintenant écoulé
Et si je m’évade un moment,
Ne m’en veux pas, mon triste amour qui tremble.

Nos sentiments éternels effaceront les cicatrices
Qui nous ont marqués.
L’un et l’autre nous oublierons
Car la vie est ainsi faite de multiples défaites
Mais aussi d’immenses joies.
Je t’en prie, tu dois me croire
Et avancer, cueillir les nouvelles fleurs
Avant que nos cœurs flétrissent, désespérés.

Prends maintenant ce qui est beau,
Construits avec moi
Un temple qui ne tremblera plus,
Fidèle forteresse de nos cœurs ébranlés.
C’est notre maison où notre avenir sera protégé.

Elle résistera longtemps, témoignera de nos sentiments
Quand on ne pourra plus parler ni même ressentir,
Lorsqu’on aura oublié ce que représentait pour nous
Le plus beau de ces mots qui nous aura accompagné
Le mot de chaque jour partagé, distribué dans nos gestes

De chaque seconde.
Un mot comme une onde
Sur un océan de tendresse
Qui monte et qui descend,
« Aimer » jusqu’à l’horizon.
Auguinou ( jepoeme )

Beau, chaleureux, plein d'entrain. Tu sais créer une dynamique pour l'avenir, tu sais oublier, pardonner. J'aime la rupture de rythme de la dernière strophe

Merci pour ta lecture et ce joli commentaire.');

Fermer

Publié le 08/08/2015 . 10:58   | |


Commentaires

Personne n'a encore laissé de commentaire.
Soyez donc le premier !