Vos poèmes - Poèmes de Guillaume
Nids d'or, ni d'argent.
Comme un soleil divin sur la neige de l’hiver
Comme une étoile discrète qui scintille vivement
Comme un oiseau fragile qui apparaît soudain
Tu as posé sur moi
Tes yeux cils d’or, cils d’argent
Sirènes hurlantes de vie
Grains d’amour
Grains de sable
Tu as posé sur moi folle fragilité
J’ai voulu partir dans l’espace
Voyager sous l’océan
Me perdre dans tes cheveux caresses
Tresses tigresses
Mèches dentelles
J’ai voulu me perdre dans un paysage somptueux
Quand pleurant une montagne immense
Tes douces larmes, ces perles de beauté,
Ont fondu sur tes joues
Roses et rouges, touchantes, réchauffées
Comme feu j’ai ressenti
Par silhouette dessinée
En baissant mon regard
Ce soleil invisible aux jambes dorées.
GV
Bravo : belles allitérations, comparaisons bien choisies et présentées discrètement en images simples, répétitions musicales, complexité mêlée de sentiments et de beauté
Je ne t’écoutais pas
Je ne te voyais pas
Je ne sentais pas ton souffle
Et ton bonheur merveilleux
Je ne t’aimais pas mon amour
Je ne t’aimais pas mon trésor
Je ne t’aimais pas encore
Je rêvais de ton charme
De ta douceur dans les larmes
J’imaginais un paysage qui te ressemblait
Lavande et grains de blé
Je rêvais mon trésor
Je ne t’aimais pas encore
GV
Bien amélioré
Un horizon aux mille reflets
C’est une onde espoir,
On a raison d’y croire,
Volonté, envie, mouvement d’orgueil ou destin,
C’est une onde pour avancer plus loin.
C’est une chaleur, une immensité, c’est un ailleurs, dessiné !
Provoque-moi, horizon aux mille reflets !
Toi lumière sur la terre entière
Blanche fleur d’existence !
Et parfum douceur du chemin !
L’univers s’ouvre le chagrin peut y entrer,
Fin est de toujours espérer.
GV
Bien. Je supprimerais juste " plus loin " et je mettrais une virgule après " s'ouvre ". Mais tu as surement tes raisons
Grignote le temps
Grelotte le clavier
Près du pas à pas de mes doigts
Seul dans mes pensées
Je deviens las du tic-tac
Mes doigts réclament le papier
Mes yeux aussi veulent se reposer
Et je voudrais sentir le parfum des livres
Que l’ordinateur a oublié
GV
Belle complainte réaliste, élégante de l'anti-progrès
Prête-moi.
Désir je n’ai pas voulu t’offenser,
D’un sentiment aux ailes des secondes
Mon cœur nu a doucement voyagé
Prête-moi juste le reflet de l’onde
Prête-moi la brillance d’un trésor
Je n’ai pas voulu voler ta lumière
Prête-moi rai de soleil en décor
J’ai touché ici ma seule prière
Prête-moi tes yeux pour mon encrier
Les mots sortiront des douces vallées
Aux couleurs magiques, amour, passion,
Prête-moi là ce fragile horizon
Prête-moi là tes cils d’or, mon amour,
Prête-moi là tes petits nids d’argent
Prête-moi illusion, mon amour,
Fragilité des corps, émoi brigand.
GV
Émoi brigand
Il fait beau dans le village.
Les gens rient, les gens pleurent, les gens parlent.
La place est inondée de soleil.
Une amie me montre le chœur que j’aime.
Dieu que l’église est belle,
On entend les chants qui résonnent.
Certains trouvent les mots,
D’autres trouvent les yeux.
La plupart sont orgueilleux,
Suivent le cortège mais parlent d’eux.
Il est vrai que les papillons sont merveilleux,
C’est une journée tranquille.
Et sous le ciel bleu,
On enterre une dame.
Une seconde de respect
Effleure la petite vallée
Comme une douce flamme.
Il fait si beau dans le village.
GV
Poème que j'aime toujours autant
Je rêve d'un autre endroit
D'autres yeux
L'étincelle d'un autre lieu
Feu et bataille
Cauchemar d'un pays
Traversé de métal
Je rêve d'eux
Derrière les flammes
Malheureux espérant un dernier sésame
Je rêve froid
Du pays des rois
D'un monde vital
D'un autre lieu, d'un autre Dieu
D'un gardien idéal.
GV
Nostalgie bien exprimée d'un mieux
Nids d'or, ni d'argent.
Comme un soleil divin sur la neige de l’hiver
Comme une étoile discrète qui scintille vivement
Comme un oiseau fragile qui apparaît soudain
Tu as posé sur moi
Tes yeux cils d’or, cils d’argent
Sirènes hurlantes de vie
Grains d’amour
Grains de sable
Tu as posé sur moi folle fragilité
J’ai voulu partir dans l’espace
Voyager sous l’océan
Me perdre dans tes cheveux caresses
Tresses tigresses
Mèches dentelles
J’ai voulu me perdre dans un paysage somptueux
Quand pleurant une montagne immense
Tes douces larmes, ces perles de beauté,
Ont fondu sur tes joues
Roses et rouges, touchantes, réchauffées
Comme feu j’ai ressenti
Par silhouette dessinée
En baissant mon regard
Ce soleil invisible aux jambes dorées.
GV
Bravo : belles allitérations, comparaisons bien choisies et présentées discrètement en images simples, répétitions musicales, complexité mêlée de sentiments et de beauté
Je ne t’écoutais pas
Je ne te voyais pas
Je ne sentais pas ton souffle
Et ton bonheur merveilleux
Je ne t’aimais pas mon amour
Je ne t’aimais pas mon trésor
Je ne t’aimais pas encore
Je rêvais de ton charme
De ta douceur dans les larmes
J’imaginais un paysage qui te ressemblait
Lavande et grains de blé
Je rêvais mon trésor
Je ne t’aimais pas encore
GV
Bien amélioré
Un horizon aux mille reflets
C’est une onde espoir,
On a raison d’y croire,
Volonté, envie, mouvement d’orgueil ou destin,
C’est une onde pour avancer plus loin.
C’est une chaleur, une immensité, c’est un ailleurs, dessiné !
Provoque-moi, horizon aux mille reflets !
Toi lumière sur la terre entière
Blanche fleur d’existence !
Et parfum douceur du chemin !
L’univers s’ouvre le chagrin peut y entrer,
Fin est de toujours espérer.
GV
Bien. Je supprimerais juste " plus loin " et je mettrais une virgule après " s'ouvre ". Mais tu as surement tes raisons
Grignote le temps
Grelotte le clavier
Près du pas à pas de mes doigts
Seul dans mes pensées
Je deviens las du tic-tac
Mes doigts réclament le papier
Mes yeux aussi veulent se reposer
Et je voudrais sentir le parfum des livres
Que l’ordinateur a oublié
GV
Belle complainte réaliste, élégante de l'anti-progrès
Prête-moi.
Désir je n’ai pas voulu t’offenser,
D’un sentiment aux ailes des secondes
Mon cœur nu a doucement voyagé
Prête-moi juste le reflet de l’onde
Prête-moi la brillance d’un trésor
Je n’ai pas voulu voler ta lumière
Prête-moi rai de soleil en décor
J’ai touché ici ma seule prière
Prête-moi tes yeux pour mon encrier
Les mots sortiront des douces vallées
Aux couleurs magiques, amour, passion,
Prête-moi là ce fragile horizon
Prête-moi là tes cils d’or, mon amour,
Prête-moi là tes petits nids d’argent
Prête-moi illusion, mon amour,
Fragilité des corps, émoi brigand.
GV
Émoi brigand
Il fait beau dans le village.
Les gens rient, les gens pleurent, les gens parlent.
La place est inondée de soleil.
Une amie me montre le chœur que j’aime.
Dieu que l’église est belle,
On entend les chants qui résonnent.
Certains trouvent les mots,
D’autres trouvent les yeux.
La plupart sont orgueilleux,
Suivent le cortège mais parlent d’eux.
Il est vrai que les papillons sont merveilleux,
C’est une journée tranquille.
Et sous le ciel bleu,
On enterre une dame.
Une seconde de respect
Effleure la petite vallée
Comme une douce flamme.
Il fait si beau dans le village.
GV
Poème que j'aime toujours autant
Je rêve d'un autre endroit
D'autres yeux
L'étincelle d'un autre lieu
Feu et bataille
Cauchemar d'un pays
Traversé de métal
Je rêve d'eux
Derrière les flammes
Malheureux espérant un dernier sésame
Je rêve froid
Du pays des rois
D'un monde vital
D'un autre lieu, d'un autre Dieu
D'un gardien idéal.
GV
Nostalgie bien exprimée d'un mieux
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