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Vos poèmes - Poèmes de Guillaume



Quand l’âme s’étend…  -  par   Guillaume

G. V.·dimanche 4 octobre 2015

Quand l’âme s’étend…


Quand l’âme s’étend…
Elle est sur le papier débris essentiels
Elle est en amour doré, brisures, scintillements
Et dans cette peau couleur de brume
Un voile inutile s’envole à demain
Je suis riche de désir et d’insouciance légère
De ce bien dérisoire que j’ai pu arracher
Des sourires, des femmes douces
De la couleur vraie du soleil
Des miettes décousues de la vie
J’emporte avec moi le goût de mots prisonniers

Et tout comme un départ, le silence est ma source
Qui se déploie avec son infini étonnant jusqu’à me prendre,
Ce lien est une force, la beauté visible en gouttes de couleur condensée.
Dans cette terre aux cheveux immenses
Je prends les yeux endormis et leur jolie danse
Et sur le gravier rugueux
Je trace mes souvenirs,
Dans la souffrance je repense
Au bonheur endormi qui se repose.
Le cœur au pli marqué de ses battements
Joue avec les contours du mot « aimer »,
Les diamants simples et sans argent brillent de plaisir.
Oui, le parfait nettoyé, calculé, est un bien inégal
Le jeté, le déposé est universel qui n’est pas fondu dans un moule.

G. V. ( Facebook )
 

C'est bien mais tu tends vers la poésie hermétique

hermétique ?

Comme " Mallarmé l’obscur "… " Mallarmé l’hermétique "…

Définition de sa poésie :

Stéphane Mallarmé l’incompris…

" Mallarmé l’obscur "… " Mallarmé l’hermétique "… Une véritable idéologie sous-tend l’œuvre de Mallarmé, lui qui prône une poésie d’élites; le poème est susceptible de n’exister, que par lui-même. un symbolisme poussé à l’extrême : en effet, ce dont il est question dans le poème ne renverra désormais plus à aucune réalité d’ici-bas, mais référera à un " quelque chose " par delà les mots, à un " aboli bibelot d’inanité sonore " (cf. infra), soit : à un idéal. Et c’est ainsi que la poésie, selon les propres termes de Mallarmé devient cette activité " transmutatoire du réel " permettant d’atteindre la " notion pure " des mots du poème, autrement dit, non leur référent du monde objectif mais leur idéal.

Tu tends vers ...

G. V.·dimanche 4 octobre 2015

Quand l’âme s’étend…


Quand l’âme s’étend…
Elle est sur le papier débris essentiels
Elle est en amour doré, brisures, scintillements
Et dans cette peau couleur de brume
Un voile inutile s’envole à demain
Je suis riche de désir et d’insouciance légère
De ce bien dérisoire que j’ai pu arracher
Des sourires, des femmes douces
De la couleur vraie du soleil
Des miettes décousues de la vie
J’emporte avec moi le goût de mots prisonniers

Et tout comme un départ, le silence est ma source
Qui se déploie avec son infini étonnant jusqu’à me prendre,
Ce lien est une force, la beauté visible en gouttes de couleur condensée.
Dans cette terre aux cheveux immenses
Je prends les yeux endormis et leur jolie danse
Et sur le gravier rugueux
Je trace mes souvenirs,
Dans la souffrance je repense
Au bonheur endormi qui se repose.
Le cœur au pli marqué de ses battements
Joue avec les contours du mot « aimer »,
Les diamants simples et sans argent brillent de plaisir.
Oui, le parfait nettoyé, calculé, est un bien inégal
Le jeté, le déposé est universel qui n’est pas fondu dans un moule.

G. V. ( Facebook )
 

C'est bien mais tu tends vers la poésie hermétique

hermétique ?

Comme " Mallarmé l’obscur "… " Mallarmé l’hermétique "…

Définition de sa poésie :

Stéphane Mallarmé l’incompris…

" Mallarmé l’obscur "… " Mallarmé l’hermétique "… Une véritable idéologie sous-tend l’œuvre de Mallarmé, lui qui prône une poésie d’élites; le poème est susceptible de n’exister, que par lui-même. un symbolisme poussé à l’extrême : en effet, ce dont il est question dans le poème ne renverra désormais plus à aucune réalité d’ici-bas, mais référera à un " quelque chose " par delà les mots, à un " aboli bibelot d’inanité sonore " (cf. infra), soit : à un idéal. Et c’est ainsi que la poésie, selon les propres termes de Mallarmé devient cette activité " transmutatoire du réel " permettant d’atteindre la " notion pure " des mots du poème, autrement dit, non leur référent du monde objectif mais leur idéal.

Tu tends vers ...

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Publié le 02/12/2015 . 10:45   | |


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